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Hergé au Grand Palais

30 Décembre 2016 , Rédigé par japprendslechinois

Il eût été dommage, en cette période de Noël où chacun cherche à replonger un peu dans son enfance, de ne pas évoquer l'exposition originale consacrée par le Grand Palais à Hergé, que nous avions visitée avec quelques-uns de nos petits-enfants pendant les vacances scolaires de Toussaint et qui va fermer ses portes à la mi-janvier.

Même si Tintin et les personnages qui l'entourent sont au centre de cette manifestation, elle permet aussi de découvrir des aspects méconnus d'Hergé.

C'était un peintre éclectique : un certain nombre de ses œuvres sont accrochées dans l'expo...

Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais

Certaines pièces de la vaste collection d'Hergé sont également présentées, dont l'hommage que lui a rendu Andy Warhol...

Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais

Des maquettes ou divers objets évoquent les aventures dessinées par Hergé...

Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais

La scénographie donne une ambiance qui parle aux jeunes visiteurs...

Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais

De nombreuses planches permettent d'appréhender un peu le travail du dessinateur entre esquisses et différents stades de la réalisation des albums

Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais

Les différentes activités d'Hergé dans la presse, notamment la presse enfantine, avec les publicités qu'il a réalisées pour les titres où il intervenait, les "ancêtres" de Tintin comme Totor CP des Hannetons ou Tim l'écureuil...

Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais

Hergé avait aussi une activité de dessinateur publicitaire

Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais

Le titre de ce blog impose d'évoquer en particulier la rencontre d'Hergé avec l'étudiant chinois en Belgique qui a conduit au personnage de Tchang dans le Lotus Bleu...

Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais
Hergé au Grand Palais

Terminons avec un tutoriel filmé à l'exposition pour apprendre à dessiner Tintin, et qui a beaucoup plu à une de nos petites-filles devenue imbattable à cet exercice.

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PRIX MARCEL DUCHAMP 2016

21 Décembre 2016 , Rédigé par japprendslechinois

Le Centre Pompidou invite, pour la première fois, les quatre finalistes du Prix Marcel Duchamp à exposer dans ses espaces : en 2016, Kader Attia, Yto Barrada, Ulla von Brandenburg et Barthélémy Toguo. Cela vaut bien de vous présenter leurs installations.

La plus impressionnante est à notre avis celle de Barthélémy Toguo (3ème sur la photo) : Vaincre le virus !

« Je conçois une installation pour célébrer la recherche intense menée pour combattre deux fléaux, deux virus qui menacent actuellement l’Afrique et le monde entier : le sida et Ebola. Je voulais rendre hommage aux scientifiques qui s’y consacrent. Dans un premier temps, j’ai effectué un séjour dans les laboratoires de recherche de l’Institut Pasteur et leur relais de Dakar pour les rencontrer, m’inspirer de leurs travaux en cours. J’ai créé un ensemble de dix-huit très grands vases en porcelaine ornés de dessins. Ils représentent pour moi le réceptacle emblématique de l’eau, purificatrice et régénératrice lorsqu’elle est pure et saine, mais source de dangers lorsqu’elle est polluée, contaminée. Je suis parti de modèles de cellules infectées et de quelques virus que j’ai transformés par le biais de nouvelles techniques d’impression en 3D dont le caractère novateur fait écho à la démarche des chercheurs. Surdimensionnées de sorte à transcender le réel, ces formes mutées encouragent et célèbrent le courage, l’énergie et la beauté de la recherche. »

PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016

Yto Barrada (4ème sur la photo) présente Objets indociles (Supplément à la vie de Thérèse Rivière).

« Je m’intéresse à la figure complexe de Thérèse Rivière, une scientifique française qui a accompli des missions pour le compte du musée de l’homme, notamment en Afrique du Nord d’où elle a rapporté un ensemble impressionnant d’objets et d’images, avant d’être internée pour agitation et mélancolie. La force poétique de ses travaux et trouvailles (fleurs sauvages, collection de jouets, dessins…) et son goût de la magie traversent l’élaboration d’une pièce que j’envisage comme un rébus. L’installation que je prépare prendra une forme nouvelle pour moi, tout en réunissant nombre de mes préoccupations habituelles : l’esprit de jeu, le déplacement, l’enfance, les arts populaires… Je cherche une forme biographique. Je me propose de réaliser un set décor de 1938 : la reconstitution magique d’une chambre de jeune femme employée du musée d’ethnographie du Trocadéro (MET) qui vit chez sa mère et qui suit les cours de Marcel Mauss, fondateur de l’ethnologie française. Le décor de la chambre s’inspire dans son exécution des ‹ unités écologiques › chères aux musées ethnographiques de l’après-guerre. Les unités écologiques sont des ensembles complexes prélevés sur le terrain à l’occasion d’enquêtes-collectes et remontés à l’identique au sein de la galerie. Un de leurs principaux théoriciens fut Georges-Henri Rivière, le ‹ magicien des vitrines ›, muséographe et fondateur des ATP (musée des Arts et traditions populaires de Paris), par ailleurs grand frère de Thérèse… »

PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016

Ulla Von Brandenburg (2ème sur la photo) présente It Has a Golden Sun and an Elderly Grey Moon.

« Pour regarder It Has a Golden Sun and an Elderly Grey Moon, le public est invité à gravir un escalier qui est aussi une plateforme architecturale immaculée. L’exposition au Centre Pompidou présente ce film pour la première fois en France et permet de déployer une nouvelle proposition scénographique. Le film est un plan-séquence en super-16-mm, mis bout à bout, sans montage effectif, qui rassemble des danseurs et des compagnons de travail depuis des années. L’idée était d’abord de faire un film en couleur sur la couleur. Les danseurs manipulent des tissus qui font l’objet d’échanges et de cérémonies. Leurs costumes sont teints, fabriqués littéralement avec la couleur. Leurs mouvements rappellent la mémoire de rituels anciens, leurs corps sont traversés par des rythmiques instinctives, emportés dans un état de conscience collectif, rappelant les formes chorégraphiques de l’eurythmie et de la danse moderne expressionniste. »

PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016
PRIX MARCEL DUCHAMP 2016

Quant à Kader Attia, la pièce maîtresse de son installation Rafraîchir la mémoire est une vidéo constituée d'interviews de chirurgiens, de neurologues et de psychanalystes autour du phénomène du membre fantôme consécutif à des amputations, dont nous présentons au lecteur un extrait.

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Jean-Luc Moulène

17 Décembre 2016 , Rédigé par japprendslechinois

À ne pas manquer à Beaubourg en ce moment la rétrospective que Jean-Claude Moulène a été invité à concevoir lui-même. Né en 1955, Moulène a choisi de présenter une « rétrospective de protocoles » : un programme de production d’une trentaine de nouvelles pièces, manifeste de ses recherches. Comme le précise le fascicule de présentation :"ancrant sa réflexion dans les mathématiques, et en particulier dans la théorie des ensembles, l’artiste explore des opérations telles l’intersection, la latéralité, la coupe, dans une tension entre corps et objet. Ses œuvres questionnent métaphoriquement l’espace commun, la forme que prend cet espace, son interaction avec l’espace individuel. Ici, les objets sont « en conversation », moins avec le regardeur qu’avec les autres objets.
Le vaste plateau de l’exposition pourrait s’apparenter à un environnement urbain, avec automobiles et bâtiments, au milieu duquel circulent des corps. Des corps qui doivent trouver leur place dans le chaos des désirs individuels, des contraintes politiques et des conventions sociales.
Cette exposition est un acte poétique, dans lequel s’entremêlent art, science et technologie
."

Il est vrai que le choix de la galerie n°3 du Centre, grand ouverte sur l'environnement urbain, offre un cadre idéal à cette présentation.

 

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

La première œuvre présentée, à l'entrée de l'exposition, consiste en des palettes d'un "journal" constitué de photos faites par l'artiste - qui s'était d'abord fait connaître comme photographe dans les années 1990. Quiconque, tiré en 131 000 exemplaires, est en libre service pour le visiteur : belle initiative !

Jean-Luc Moulène

Bleu de costume (2016) a inspiré l'affiche de l'expo

Jean-Luc Moulène

Voyelles (2015)

Jean-Luc Moulène

Bubuglu (2015-2016)

Jean-Luc Moulène

Pythie (2016)

Jean-Luc Moulène

Os météorite (2016)

Jean-Luc Moulène

Âne (2016)

Jean-Luc Moulène

Jaune 62 (2016) et Jaune 6 (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Body Versus Os (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Coupé Noué 1 (2016) et Coupé Noué 2 (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Jeanne (2016) et Bouboulina (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Bloc 1 (Mâle) et Bloc 2 (Femelle) - 2016

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Indexes (2016)

Jean-Luc Moulène

Non, non, non (2016), figure monumentale de l'exposition.

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Figure intermédiaire (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Voiture&Fille (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Un os bleu qui voit (2016)

Jean-Luc Moulène

Monsieur propre jusqu'à l'os (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Ça propre (Anse) et Ça propre (Trou) - 2016

Jean-Luc Moulène

La Fille de l'Os (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Un os mauve (2016)

Jean-Luc Moulène

Bi-Face (2016)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène

Un artiste un peu déconcertant au départ, mais un merveilleux plasticien et une très belle mise en scène : nous nous sommes souvenus en visitant cette rétrospective "de protocoles" de l'installation qu'il avait présentée à la FIAC 2011(notre billet du 23 octobre 2011)

Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
Jean-Luc Moulène
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Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

10 Décembre 2016 , Rédigé par japprendslechinois

Passionnante exposition au musée d'Orsay, consacrée à un artiste qui aurait sans doute été l'un des impressionnistes qui ont marqué la peinture française à la fin du XIXème siècle s'il ne s'était engagé à 28 ans pour être fauché par les balles prussiennes à Beaune-la-Rolande le 28 novembre 1870.

On ne connaît de lui, compte tenu de sa courte carrière, qu'une cinquantaine de tableaux dont 42 figurent dans cette belle exposition qui a été avant Orsay présentée au musée Fabre de Montpellier et, après Orsay, se déplacera à la National Gallery of Arts à Washington DC.

Issu d'une famille de la bourgeoisie de Montpellier, Frédéric Bazille est monté à Paris à 21 ans pour suivre les cours de Charles Gleyre, y a rencontré Monet, Renoir, et côtoyé Manet, Degas, Sysley...Bénéficiant d'une pension de ses parents, il a souvent partagé avec ses collègues les ateliers qu'il louait.

Un autoportrait de 1865 et un portrait de Bazille en 1867 par Pierre-Auguste Renoir. De 1868, un beau portrait par Bazille de son ami Edmond Maître.

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

Une étude de nu de 1864, au moment où Bazille terminait son passage à l'atelier de Charles Gleyre, la petite italienne chanteuse des rues (1866), un portrait d'Alphonse Tissié en tenue de dragon (1868).

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

Des natures mortes de nature alimentaire, dans l'air du temps : Poissons (1866) de Bazille répond à Anguille et rouget (1864) d'Edgar Manet, Nature morte au héron peint par Bazille en 1867 voisine avec le Héron aux ailes déployées peint la même année par Alfred Sysley à partir du même modèle quand Sysley partageait l'atelier de Bazille.

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

En 1867, Frédéric Bazille qui pour la première fois avait été refusé au salon redescend dans son midi natal, séjourne à Aigues-Mortes où il peint ces toiles d'une luminosité incomparable.

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

Une section est consacrée aux chefs d'œuvres de Bazille peints dans la propriété familiale de Méric, à l'orée de Montpellier et aux alentours : La Robe rose (1864), La réunion de famille (1867), La terrasse de Méric (1867), Les Laurier-roses (1867), Vue de village (1868).

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

Le pêcheur à l'épervier (1868), Scène d'été (1869), Toilette (1870) attestent de la maturité atteinte par Bazille à la fin des années 1860.

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

Bazille a lui aussi sacrifié avec talent à la mode des natures mortes florales : Fleurs (1868), Fleurs (narcisses dans un vase) (1870), Jeune femme aux pivoines (1870) ; dans la même salle sont exposées des pensées en pot de Fantin-Latour (voir notre billet du 15 octobre dernier)

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

Les deux dernières œuvres de Bazille avant sa mort, peintes à Montpellier au printemps 1970, sont exposées dans la dernière salle : un Paysage au bord du Lez et un Ruth et Booz inspiré par La Légende des Siècles de Victor Hugo, qu'il laissera inachevé pour aller s'engager au 3ème Zouaves...

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme
Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

Autre souvenir émouvant au sortir de cette salle, la vareuse, le képi, et les affaires personnelles que Frédéric Bazille portait au moment de sa mort.

Frédéric Bazille - La jeunesse de l'impressionnisme

Ceux que cette rapide et incomplète présentation laisseront sur leur faim pourront se reporter à la très intéressante conférence inaugurale donnée par les commissaires de l'exposition :

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MEXIQUE 1900-1950

2 Décembre 2016 , Rédigé par japprendslechinois

Programmation éclectique au Grand Palais, qui ouvre sur la découverte d'un univers d'une violente et sauvage beauté, bien méconnue sauf quelques figures comme Diego Rivera ou Frieda Kahlo auxquels l'Orangerie avait consacré un exposition il y a trois ans (notre billet du 20 décembre 2013)

Le parcours de l'exposition, que nous vous proposons de suivre, est à peu près chronologique. Cependant, plutôt que d'asséner au lecteur des noms d'artistes et des titres qu'il oubliera aussitôt, nous nous contenterons de lui faire partager la simple émotion des images.

En commençant par les peintres mexicains qui se rendirent à Paris dès la fin du XIXème siècle.
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MEXIQUE 1900-1950
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Un dyptique recto-verso du jeune Diego...

MEXIQUE 1900-1950
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Qu'elles soient figuratives ou cubistes, beaucoup de charme dans ces toiles des années 20...

MEXIQUE 1900-1950
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Des gravures dont certaines de Roberto Monténégro (1887-1968), actif des années 1900 jusqu'aux années 60...

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Des portraits de femmes à la limite de l'art naif...

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Des images plus noires de la période révolutionnaire, avec notamment José Clemente Orozco...

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Beaucoup de sculptures aussi, très fortes.

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Des portraits féminins d'un tout autre genre...

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Des images plus apaisées, où l'on retrove les petits tabkeaux de Frieda Kahlo

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L'ensemble Rio Juchitan (1953-1955), le dernier grand-œuvre de Diego Rivera...

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Encore des sculptures, toujours aussi fortes...

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Toute une salle est consacrées aux femmes qui, mécènes d'artistes de valeur ou artistes elles-mêmes, jouèrent un rôle déterminant au Mexique...

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Un des derniers volets de l'exposition est consacré à ce que les organisateurs de l'exposition appellent les "autres visages de l'école mexicain"...

MEXIQUE 1900-1950
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Une autre intitulée Le Mexique et les Etats-Unis met en valeur les influences croisées des deux grands pays voisins pendant la première moitié du XXème siècle

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Le cinéma mexicain est mis en valeur dans toute l'exposition, notamment dans un des dernières salles tapissée d'écrans

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L'exposition se termine sur le surréalisme, avec notamment l'afflux des européens tels que Artaud ou Breton pendant les années de guerre et leur influence sur l'art mexicain.

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