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Dans les rues de Honfleur

26 Septembre 2020 , Rédigé par japprendslechinois

A deux heures de Paris, en ces derniers jours de l'été, la côte normande attire toujours autant les parisiens en mal d'air marin et de promenades sans masque (espoir cependant déçu dans le centre de la ville de Honfleur, où la densité l'a rendu obligatoire...)

Nota : pour les puristes, nous avons opté pour un H aspiré dans le titre et le texte de ce billet. Flaubert lui-même a écrit dans "Un coeur simple", à quelques pages d'intervalle, "les Ursulines d'Honfleur" et "les lumières de Honfleur"...

Le monument le plus emblématique de la ville est sans doute l'église Sainte-Catherine, dédiée à sainte Catherine d'Alexandrie, qui a la particularité, rare en France, d'être construite pour la plus grande partie en bois. Elle a aussi la particularité de comporter deux nefs parallèles, celle de gauche, la plus ancienne (deuxième moitié du XVème siècle), sur le modèle d'une halle de marché où ont été utilisés des éléments servant à la construction navale, le tout donnant l'aspect d'une coque de bateau renversée et l'autre, ajouté au XVIème siècle pour agrandir l'église, avec une voûte conforme aux voûtes en bois des églises gothiques, avec une forme plus arrondie et une disposition de charpente, sans rapport avec la structure d'un navire. L'église est dépourvue de transept et de chapelles latérales ; le clocher est séparé, face au portail, sans doute pour réduire les risques d'incendie si la foudre venait à le frapper.

Dans les rues de Honfleur

Le portail et le chevet reflètent la structue si particulière de l'édifice.

Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur
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L'intérieur, un peu défiguré par des plafonniers de chauffage plutôt agressifs, et le sens "giratoire" imposé par les mesures sanitaires...

Dans les rues de Honfleur
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Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur
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La beauté du travail du bois est partout présente, que ce soit dans le structure du bâtiment ou le balcon renaissance de la tribune de l'orgue.

Dans les rues de Honfleur
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Le clocher vaut à lui seul la visite...

Dans les rues de Honfleur
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Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur

Les rues de Honfleur forment un paysage urbain invitant le promeneur à la flânerie...

Dans les rues de Honfleur
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Quelques façades, typiques...

Dans les rues de Honfleur
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ou plus insolites.

Dans les rues de Honfleur
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Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur

Beaucoup de plaques commémoratives du séjour des peintres, y compris, dans deux maisons côte à côte, avec un peu d'ironie...

 

Honfleur aime beaucoup les plaques commémoratives, que ce soit pour des événements (avec une illustration complémentaire tirée de l'Album des Hommes utiles de l'Imagerie Pellerin à Epinal, clin d'œil à certains des fidèles lecteurs)...

Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur

...ou pour les enfants du pays, comme Alphonse Allais...

Dans les rues de Honfleur

et Eric Satie : la boucle est ainsi bouclée avec la maison d'Arcueil où il vécut à la fin de sa vie (voir notre billet du 11 avril 2020)

Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur

Avant de quitter Honfleur, quelques vues du vieux bassin...

Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur

avec la skyline inimitable de ses maisons aux façades couvertes d'ardoise

Dans les rues de Honfleur
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Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur

Sur le chemin du retour, la charmante petite église Saint Martin de Cricquebœuf, dite Chapelle aux lierres (XIIème-XIIIème siècle)

Dans les rues de Honfleur
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Dans les rues de Honfleur

et la petite localité balnéaire de Villerville, avec sa plage et ses villas cossues...

Dans les rues de Honfleur
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Dans les rues de Honfleur

très animée ce soir de grande marée de septembre par les pêcheurs à pied

Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur
Dans les rues de Honfleur

Là encore, on aime commémorer :

 

C'est en effet à Villerville qu'a été tourné le film d'Henri Verneuil, Un Singe en hiver (1962), tiré du roman d'Antoine Blondin, réunissant Jean Gabin et Jean-Paul Belmondo, immortalisés sur un mur voisin.

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Saint-Jacques des Guérets

19 Septembre 2020 , Rédigé par japprendslechinois

La commune de Saint-Jacques-des-Guérets est la plus petite en superficie (181 ha) du département du Loir-et-Cher, et une des moins peuplées (91 habitants en 2017). Son église, très simple, date du XIIème siècle où elle dépendait de l'abbaye Saint-Georges-des-Bois.

Elle abrite cependant des peintures murales d'une grande beauté, découvertes à la fin du XIXème siècle sous la chaux qui les dissimulait depuis le XVIIème siècle.

La modeste mais élégante silhouette de l'église Saint-Jacques se découvre depuis le tumulus de Trôo qui la domine depuis l'autre rive du Loir...

Saint-Jacques des Guérets

...ou, depuis l'amont, en cheminant le long de la rive droite de la rivière.

Saint-Jacques des Guérets
Saint-Jacques des Guérets
Saint-Jacques des Guérets
Saint-Jacques des Guérets

Pénétrons à l'intérieur pour en détailler les peintures murales...

Saint-Jacques des Guérets

Sur le mur de gauche, la Nativité : l'enfant Jésus dans un couffin tressé, au centre, est veillé par l'âne et le boeuf ; à droite, saint Joseph, debout ; en bas, la Vierge, allongée ; l'étoile et la lampe suspendue accompagnent une architecture feinte isolant la scène.

Saint-Jacques des Guérets

La partie supérieure est occupée par le Massacre des Innocents : soldats saisissant les enfants, femmes effondrées à terre, implorant ou pleurant près de leurs enfants égorgés.

Saint-Jacques des Guérets

En face, la Descente du Christ aux Limbes : à droite, le Christ, aux grandioses proportions, en compagnie des anges, fait sortir Adam et Eve des Limbes et leur fait passer la porte du Paradis ; en haut, les patriarches assis côte à côte dans la béatitude céleste ; au centre, les Limbes, lieu d'attente et de souffrance ; en bas, dans l'enfer, les réprouvés sont torturés par des diables et des bêtes au pelage moucheté de brun.

Saint-Jacques des Guérets

Dans le chœur, à droite, le Christ en majesté, dans une mandorle, est accompagné du tétramorphe. Les vêtements aux couleurs variées sont doublés d'étoffes richement brodées de petits motifs.

Saint-Jacques des Guérets

Au registre inférieur, la Cène : le Christ et les apôtres sont rassemblés autour d'une table sur laquelle on distingue pains, poissons, plats, pichets et coupes.

Saint-Jacques des Guérets

Dans le choeur, à gauche, la Crucifxion : le Christ est représenté sur une croix pattée, mi-partie émeraude, mi-partie noire, ornée de cabochons ; la Vierge et saint Jean se tiennent de part et d'autre ; dans la partie supérieure, la lune et le soleil se voilent la face tandis que les nuées envahissent le ciel.

Saint-Jacques des Guérets

Au registre inférieur, la Résurection des morts est accompagnée d'un ange vétu d'un manteau bleu à l'ample drapé.

Saint-Jacques des Guérets

Quelques belles scènes à l'entrée du chœur, à droite : le Martyre de saint Jacques, grande scène où les trois personnages (le roi Hérode, le bourreau et le martyr) sont comme saisis dans l'instantané du geste fatal. À droite de la tête du Roi apparaît une tête d'ange, élément d'un décor antérieur non dégagé.

Saint-Jacques des Guérets

Le Miracle de saint Nicolas : le saint évêque, à gauche, lance trois pièces d'or au père de trois jeunes filles pour les sauver de la prostitution ; sous une architecture feinte, le père est assis près de ses filles endormies, chacune dans une couverture aux savants enroulements ; à droite, la Vierge accompagne la scène.

Saint-Jacques des Guérets

En dessous, la Résurrection de Lazare : le sarcophage orné de strigiles, au centre, est ouvert par un serviteur et Lazare, assis, est encore entouré de bandelettes ; le Christ, face à lui, lui tend la main pour l'inviter à reprendre vie ; à droite, les sœurs de Lazare sont étonnées et émerveillées ; à gauche, deux apôtres observent la scène.

Saint-Jacques des Guérets

Terminons sur un beau fragment isolé à l'entrée du chœur à gauche. 

Saint-Jacques des Guérets

L'église renferme aussi un peu de mobilier, comme ces statues d'un saint évêque (non identifié) et de saint Jacques en pèlerin...

 

Avant de quitter Saint-Jacques, un coup d’œil, en face de l'église, sur un vieux lavoir au bord du Loir...

Saint-Jacques des Guérets
Saint-Jacques des Guérets

d'où l'on aperçoit un moulin à aube situé juste en amont.

Saint-Jacques des Guérets
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Rentrée

12 Septembre 2020 , Rédigé par japprendslechinois

Quelques images de la rentrée en région parisienne en cette curieuse fin d'été.

Commençons par les traditionnelles vendanges sur le coteau de Cachan. L'ambiance a changé depuis celles que nous relations dans notre billet du 27 septembre 2015 : beaucoup plus précoces suite aux évolutions climatiques, la situation sanitaire a fait renoncer aux flonflons, au cortège qui accompagnait la charrette tirée par des chevaux - et même dans les années fastes par des bœufs - vers le centre de la ville où le raisin était égrappé, éraflé et pressé, et le vin de l'année précédente proposé à la dégustation...En revanche, ces opérations sont réalisées cette année sur place, en haut de la parcelle...

Rentrée
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Comme d'habitude, enfants des écoles et parents s'affairent sous la conduite des jardiniers de la ville...

Rentrée
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...avec un masque pour les plus de 11 ans

Rentrée
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Sur pied ou en panier, le raison a belle allure

Rentrée
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La table d'égrappage...

Rentrée
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et la machine à érafler. Les enfants sont trop passionnés par le pressage pour qu'il soit possible de l'illustrer...

Rentrée
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Arboretum de l'Ecole du Breuil

Quelques images de notre découverte de l'arboretum de Paris (arboretum de l’école Du Breuil), moins pittoresque à nos yeux que celui des Hauts-de-Seine à la Vallée-aux-Loups, que nous avons plusieurs fois évoqué auprès de nos lecteurs, même s'il est aussi riche en espèces et en arbres remarquables (1 400 arbres, appartenant à 112 genres : 485 espèces et 400 cultivars et variétés, soit un total de 885 taxons)

Rentrée
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Rentrée

Nous avons longtemps cherché un des "arbres remarquables", au curieux nom d'arbre aux mouchoirs : nous n'avons pu le reconnaître que grâce à une étiquette de forturne accrochée à un jeune spécimen, portant son seul nom latin Davidia involucrata...

Rentrée
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en revanche, le fouillis qui y règne est propice au dépaysement...

Rentrée
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Crataegus speciosa Sargent (aubébine), Koelreuteria paniculata (savonnier), Sophora pendulata (Pendula)

Rentrée
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On y retrouve un Cedrus atlantica glauca pendula (Cèdre bleu pleureur) , beaucoup moins spectaculaire que celui de la Vallé-aux-Loups...

Rentrée

Versailles

Terminons ces images de rentrée avec, pour respirer plus librement, une évasion vers un département proche où l'obligation du port du masque n'est pas (encore ?) généralisée.

La pièce d'eau des Suisses a gardé sa majesté...

Rentrée
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offrant un cadre unique pour fixer les moments heureux...

Rentrée

ou accueillir des performances sophistiquées...

Rentrée

Dans les "carrés" si typiques du quartier Saint Louis, les curieuses maisonnettes construites sous Louis XV, initialement prévues pour abriter les commerces d'un marché complémentaire de celui du quartier Notre-Dame et transformées en habitations un peu plus tard, en surélevant les "baraques" d'un comble mansardé qui donne aux toits une allure disproportionnée. Beaucoup, devenues vétustes, furent démolies, mais celles qui restent sont désormais protégées au titre des monuments historiques...

Rentrée
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et cohabitent dans les  carrés avec de vieilles demeures plus aristocratiques.

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Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

5 Septembre 2020 , Rédigé par japprendslechinois

Au musée département breton de Quimper (cf notre dernier billet) se tenait une exposition (prolongée jusqu'à ces derniers jours) consacrée à Emile Simon, peintre "post-impressionniste", et à son élève Madeleine Fié-Fieux.

Comme l'indique le directeur du musée : "En 1995, Madeleine Fié-Fieux léguait au Conseil départemental sa propriété de Squividan et l’importante collection de tableaux qu’elle et son invité et maître Emile Simon y avaient créés. Depuis ce cadre enchanteur, Madeleine Fié-Fieux (1897-1995) et Émile Simon (1890-1976), accompagnés par Philippe Fieux, l’époux de Madeleine, avaient parcouru inlassablement, durant trente ans, le Finistère et la Bretagne. Ils fixaient sur leurs toiles les mille aspects colorés des paysages et de leurs habitants. Véritable témoignage visuel sur une population parmi laquelle le port des costumes traditionnels était encore très répandu, leur œuvre forme un remarquable et attachant reportage humain, sans doute sans équivalent dans les collections publiques bretonnes." Dans la première salle, des toiles d'Émile Simon :

Trois autoportraits d'Émile Simon datant de 1910, 1913 ("En rentrant d'Égypte), 1943.

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

le premier portrait de Madeleine Fié-Fieux peint par Émile Simon, en 1938

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

et celui de son mari L'Amateur (Portrait du Docteur Philippe Fieux), daté de 1944.

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

D'autres portraits :
Portrait de ma mère (1918)
L'Atelier ou Jeune fille à la cravate bleue (1921)
Dans de vieux atours (1926), 
Ex-voto (non daté) et son étude

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Sur le départ (septembre 1939)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

L'Île-de-France dans les écluses de Saint-Nazaire (vers 1927-1929)
Place du Tertre à Montmartre (1939)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Deux petites pochades plus osées :
Le Modèle au chausson rouge (vers 1930)
Nu au turban (vers 1930-1940)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

et Nu de dos, la Madeleine repentante (1947) représenté sur l'affiche de l'exposition.

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Dans la deuxième salle, Gens de Bretagne, se mêlent les œuvres du maître et de l'élève.
De Madeleine Fié-Fieux :
Marin breton (1939)
Biniou Breton (1943)
Paysanne de Guéméné-sur-Scorff (1943)
Printemps ou Jeune Bretonne en costume de Fouesnant (1944)
Étude de Breton (Région de Quimper) _ 1946

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Un même sujet par les deux peintres en 1941, Le Père Le Gouriellec

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

D'Émile Simon, dans la même salle :
Breton de Penmarc'h (vers 1932)
Vieille Bretonne du pays Bigouden (1959)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Des compositions d'Émile Simon :
Orchestre breton ou Le Repos des musiciens (1936)
L'Espoir ou Le Retour des Champs (1939)
Le Trait d'union ou La tabatière (1946)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

et terminons cette salle avec Madeleine Fié-Fieux :
Monsieur le Maire (1941)
Breton au panier (1948)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Des toiles évoquant la vie à Squividan où le couple Fieux et Émile Simon s'installèrent à partir de 1945.

Émile Simon : Le Manoir du Squividan (vers 1950) et Le Goûter ou Le Thé à Squividan (1950)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Madeleine Fié-Fieux : Le Turban vert (Autoportrait) - 1952

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

et des natures mortes de fleurs, par Émile Simon :

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

et par Madeleine Fié-Fieux :

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Explorer le Finistère

Émile Simon s'installe définitivement en 1947 à Squividan chez Madeleine et Philippe Fieux. Pendant plusieurs dizaines d'années, conduits en automobile par Philippe Fieux, les deux peintres explorent le territoire breton et en représentent les paysages, le travail quotidien ou les fêtes. Toutes les huiles de cette section sont d'Émile Simon

Pardon de Sainte-Anne-La-Palud (vers 1932)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Jour de Troménie à Locronan (vers 1935-1940)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Locronan (1937)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

La Plage et le village du Gored à Plozévet (vers 1950)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Douarnenez (vers 1932)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

La Chapelle du Drennec (vers 1950)
La Chapelle du Drennec sous la neige (vers 1956)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Brûleurs de goëmon à Porzembréval (Plozévet) (1932)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Le Maréchal-ferrant (Pont-Croix) (vers 1934-1940)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Les Roulottes bleues, Sainte-Anne-La-Palud (1959)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Tréboul, Douarnenez (vers 1934-1940)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Le Petit port de Poulhan près de Plozévet (vers 1935-1940)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Dans le vent, Caslel-ar-Roc'h en Goulien (1966)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Bretagne mystique ou Entrée de la Messe à Pont-Croix (1934)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Le Chantier, Camaret (1930)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Les Manèges (1940)

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

L'exposition se termine sur une salle intitulée Émile Simon, aquarelliste

Grâce au concours de la Fondation de France, des aquarelles du peintre ont pu être restaurées en 2019 et sont dévoilées au public pour la première fois dans cette exposition.

Pont-Croix, années 1930, crayon et aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Le Port de Concarneau, années 1930, crayon et aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Sainte-Marine, années 1930-1950, crayon et aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

La Chapelle Saint-Philibert à Moëlan-sur-Mer, années 1930, crayon et aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Calvaire et chapelle Notre-Dame de Tronoën (Saint-Jean-Trolimon), années 1950, crayon et aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Chapelle Notre-Dame-de-la-Clarté à Combrit, années 1950, crayon et aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Le Cirque bigouden, années 1950, crayon et aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

Brûleurs de goëmon à Porzembréval (Plozévet), 1932, dessin au crayon et à l'aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux

L'Arbre, vers 1920, crayon et aquarelle

Émile Simon - Madeleine Fié-Fieux
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